2022年3月16日星期三

祈祷生活第16期:望德的行爲

 


祈禱,望德的行為

16

祈禱要有望德:如果我們祈禱,這是因為我們期待天主,我們把一切所需寄託在天主身上。

這望德的態度特別重要,因為在祈禱生活中,我們必定會經歷到某種無助,有時是非常痛苦的。祈禱是吊詭的某些時刻它讓我們感覺到非常幸福,是世界所不能給的圓滿,然而,又有些時候,我們感覺到非常的無助與無能。

為什麼這是無可避免的事實呢?

天主前的無助者

首先,這是因為沒有一種技巧能常讓我們好好祈禱。

天主是祈禱的師傅;我們依賴祂。有時,即使我們如何努力,祂仍然躲起來,靜默無聲;但有時,祂又來充滿我們,雖然我們並沒有如何付出.....

我們不能計畫如何得到天主的恩寵及祝福!

此外,祈禱使我們越來越深入天主的光明中,有時是喜樂及舒暢人心,但有時是痛苦及使人羞愧,因為祈禱彰顯了我們的缺陷、罪惡及創傷......如同一道光,射進一間黑暗的屋子,反映出浮在空氣中的微小塵埃,同樣的,天主的光芒無可避免地顯示出我們的可悲狀態......

在靜寂的祈禱中,沒有了我們所依賴的習慣,意識中逐漸浮現以往的過失、對過去的悔恨、對未來的焦慮、憤怒及苦澀的情緒、內心的驕傲及頑固等,難以收斂心神......這時我們會更願意去工作、上網遊覽或者和朋友聊天!我們對聖潔的渴望越大,這種無助貧乏的體驗就越大......

恐懼往往使我們逃避默禱,因為我們預感到,如果我們處於天主面前,祂將揭露我們的庸俗,讓我們看到生活中所應該煉淨的地方!

我們不應該擔心這種無助的感覺;這是正常,甚至是必須的。耶穌曾如此對法國聖路易王說道:你願意像聖人般祈禱嗎?我則邀請你像一個無助的可憐人般祈禱!

當然,不只是祈禱讓我們感覺到自己的無助。我們的一生,困難的情景,都讓我們面對自己的脆弱、創傷及罪過。然而祈禱加強了我們的意識,迫使我們面對它。

實踐望德

因此祈禱應該成為望德的行為。我們可以如此表達: 「上主,在祢面前,我感覺自己很可悲、無能,但這不是問題……我記得您曾說過,不是健康的人需要醫生,而是生病的人,您來不是召叫義人而是罪人,我因此把一切希望寄託於!我把一切期望都寄託在的美善及慈悲,我等待是我唯一的依靠!我不能靠自己!」

避免我們跌入悲傷與失望的兩個態度是:謙卑與望德。也就是說完全接受自己,看到並接受自己的局限與毛病,因此不再自以為是,而把信心與希望寄託在天主身上。

凡高舉自己的,必被貶抑;凡貶抑自己的,必被高舉。」(路1814

雖然我們痛苦地看到自己的可悲,然而福音的這些話要求我們接受這一切,並投入天主的懷抱,無條件地相信祂的慈悲與大能。

我們必須徹底地接受自己的無助與無能,把這可悲的狀態轉化成向天主的哀求、期待及堅定的希望。這就是所謂在絕望中仍懷著希望(參閱羅418)!天主將會來拯救我們。

卑微人一呼號,上主立即俯允,並且救拔他出離一切的苦辛。」(聖詠347

「祂沒有輕看或蔑視卑賤人的苦痛,也沒有向他掩起自己的面孔,他一呼號上主,上主即予俯聽。」(聖詠2225

 

天主聆聽的是謙卑人的祈禱。「謙卑人的祈禱,穿雲而上」(德3521)。祂不俯聽法利賽人的祈禱,因為他們對自己的善行心滿意足,蔑視其他人;稅吏則謙虛地站在遠處,捶著胸口說:「天主,可憐我這個罪人吧!」(路1813)。

深感自己的不足與罪愆而發出的祈禱,最能觸動天主的心及汲取其恩惠。

「上主,我自深淵向祢呼號,我主,求祢俯聽我的呼號!求祢側耳俯聽我的哀禱!」(聖詠1301-2

 

堅持默禱,這是學習謙虛與望德的場所。接受自己的無助,在天主前我們是赤貧的,雙手空空地等待天主慈悲的恩賜,慢慢地我們就會得到治癒、煉淨、安慰與平安。

聖女小德蘭說:「遠離一切耀眼的東西喜愛自己的卑微喜愛什麼感覺都沒有如此我們就是神貧的人即使我們離得很遠耶穌都會來尋找我們,把我們變成愛的火焰。」(第197封信)

語錄

靈魂越有望德,就越和天主結合。因為在天主眼中,靈魂期望得越多,得到的也越多。

聖十字若望

 

更深一步

就在今天

當我看到自己今天很多地方很不足,特別在祈禱中,我趁此機會發望德。我為自己的不足感謝天主,並喜樂地等待祂的恩寵。

 

簡報的作者

這些文章取自天主教真福團內部傳閱的期刊“祂在這”。文章作者不定,有團體內的神父、教友、修士修女等,他們共同的渴望是激發祈禱生活,這是團體的召叫也是每一位基督徒的召叫。所以,我們很高興和大家分享這些簡單的文章

 

祈祷生活第17期:聖書閲讀

 

祈禱生活:聖書閱讀(第17期)

導言



在之前幾期,我們談到聖經誦讀的重要性。這一期,我們要談聖書閱讀。它的區分在於:聖書閱讀不只局限於聖經,也不一定需要以祈禱來結束。

我們可能不太認識到這習慣在我們靈修生活中的重要性。每日緊張的生活節奏,要在繁瑣的生活平衡該做的事,聖書閱讀往往就很容易被忽略。

然而,聖書閱讀對我們的靈修成長有非常大的影響。只需要看看多少聖人因為看了某本聖書而改變了生命。比如:聖女大德蘭受了聖奧斯定的‘懺悔錄’以及Francisco de Osuna Troisième Abécédaire 的影響;師主篇在聖女小德蘭的心中及生命中所占的位置;還有聖十字德蘭本篤修女(艾蒂特·史坦茵)因看了聖女大德蘭的自傳,內心受到啟迪。

所以,讓我們大膽地肯定:雖然真正的聖書都會提到或者參閱聖經,聖經是一切的中心,但我們不能只滿足於閱讀及默想聖經。聖書有它一定的位置。我們將簡要地介紹它,並從實際角度來討論這話題。


不可或缺的知識


從經驗中,我們都知道,要愛所不認識或不熟悉的人是很困難的。這在人際關係中是如此,與天主的關係更是如此。認識是為了愛。所以,聖書閱讀在靈性成長方面扮演重要的角色,使我們在信、望、愛三德方面成長。天主同時非常接近我們,但祂又是另一位。如果我們不充分培養對天主的認識,我們的愛就必定會冷淡,無法成長,也無法增強。

此外,天主的道往往是陌生的(參閱厄1825),至少難以理解(參閱依558-11)。雖然稍微理解靈修的道路,不是為了要掌握我們的靈性生命,或者要嘗試理解天主以及祂的智慧(這是遠遠超越我們),但它對我們的內修是非常有益的。如果我們的理智沒有得到滋養或啟蒙,信德就無法成長。捨棄慈母教會的教會訓導及聖人們的知識,或者不理會天主賜給某些人神恩來解釋祂的道路,這些都是錯誤的行為。我們要謙卑及感恩地從天主賜給教會的這些寶藏中汲取營養。


思想的鬥爭


讓我們提出另一個觀點。我們的思想常在活動。我們雖然不能停止它活動,但我們有責任給它思索的內容:比如有內涵的、以我們的願望為中心的、天主......等,這樣,我們就比較少去胡思亂想,去想些沒有意義甚至有害的東西。這不止對我們的祈禱有幫助,對每日的生活也有益。我們對天主的渴望將得到滋養與堅強,更願意在聖德中成長,在信仰中堅守,以及渴望耶穌被人認識與被人愛。我們將獲得更多的力量來為信德戰鬥,而不會捆綁在次要的問題上。如同這本書Cachés dans l’amour上所寫的 : “聖書閱讀是默觀生活中的一個重要支柱。如果沒有經常閱讀聖書,在通往天主的道路上將寸步難行。疏忽了閱讀聖書,其後果將立刻出現。我們將很難生活在天主的臨在中,祈禱也充滿各種雜念。”

在祈禱時,如果難以集中精神,感覺無聊或充滿雜念,這時最好拿起一本聖書,重新把精神集中在天主身上。

具體建議

具體方面有兩個問題:時間以及書籍的選擇。

有關時間方面,顯然地較複雜。這要看我們生活的條件,我們的個性以及目前生活的情況。讓我們嘗試談一談。

我們不需要讀很多書或者用長時間閱讀。一段短暫的閱讀時間,也可能有極大的收穫:只要這段時間的閱讀是針對我們所需,內容能啟發我們,説明我們成長,認清方向。因為閱讀的目的不是為累積知識,這反而使我們驕傲。聖書閱讀是為了靈修的成長。有時障礙在於難以限制自己不要什麼都懂,不要把已知的好書都包攬為必讀的書,而是要挑選對自己靈魂有益的書。與其狼吞虎嚥地讀大量的書,倒不如用五分鐘時間專心閱讀。而且,如果我們手上有一本吸引我們的書,就比較容易在繁忙生活中騰出一段時間來閱讀。當然,如果我們能經常閱讀,每天一點,這對我們靈修生活非常有益。否則,在每週或每月的作息中,安排一段閱讀的時間,也是非常有用的。

至於如何選擇閱讀材料,除了針對目前靈魂的情況及所需之外(這點可以和自己的靈修陪伴者討論),分辨我們靈魂的特性,從中選擇適合的書籍也是很有益。有時需要重新閱讀某本聖書或者某個作者的書。總之,重要的是品質而不是數量。

在這重要的課題上,願聖神帶領我們每一位。也願我們能彼此鼓勵,比如共同分享某個課題等。

語錄

 “ 在真理中認識,在火中相愛!

Sainte Angèle de Foligno

 

更深一步

就在今天

- 在這個月,我選擇一本聖書來陪伴我,滋養我。

- 那一本聖書對我的印象最大?為什麼?

Le témoignage de Pierre

De la parole au silence et du silence à la parole

 

Parmi les apôtres, Simon Pierre est souvent le premier à prendre la parole, parfois éclairé par l’Esprit, parfois en se mettant au travers du plan de Dieu (cf. Mt 16, 13-23) et même lorsqu’il ne sait que dire (cf. Mc 9, 6). Mais après son triple reniement, lorsqu’il croise le regard du Seigneur, Pierre ne dit rien, il pleure amèrement. Devant le tombeau vide et le soir de Pâques, lorsque le Christ se manifeste aux apôtres, il ne dit rien. Quelques jours plus tard, au bord du lac de Tibériade (cf. Jn 21), lorsque Jean lui dit : « C’est le Seigneur », il ne discute pas, il se jette à l’eau. Près du feu, il ne dit rien. C’est Jésus qui prend l’initiative en l’interrogeant. Alors, il peut enfin dire la seule parole que Jésus attendait : « Tu sais bien que je t’aime. » Il a fallu ce long silence où tant de souvenirs ont travaillé le cœur de Pierre pour qu’il puisse dire enfin cette vraie parole…

Le témoignage de Pierre

De la parole au silence et du silence à la parole

 

Parmi les apôtres, Simon Pierre est souvent le premier à prendre la parole, parfois éclairé par l’Esprit, parfois en se mettant au travers du plan de Dieu (cf. Mt 16, 13-23) et même lorsqu’il ne sait que dire (cf. Mc 9, 6). Mais après son triple reniement, lorsqu’il croise le regard du Seigneur, Pierre ne dit rien, il pleure amèrement. Devant le tombeau vide et le soir de Pâques, lorsque le Christ se manifeste aux apôtres, il ne dit rien. Quelques jours plus tard, au bord du lac de Tibériade (cf. Jn 21), lorsque Jean lui dit : « C’est le Seigneur », il ne discute pas, il se jette à l’eau. Près du feu, il ne dit rien. C’est Jésus qui prend l’initiative en l’interrogeant. Alors, il peut enfin dire la seule parole que Jésus attendait : « Tu sais bien que je t’aime. » Il a fallu ce long silence où tant de souvenirs ont travaillé le cœur de Pierre pour qu’il puisse dire enfin cette vraie parole…

Le témoignage de Pierre

De la parole au silence et du silence à la parole

 

Parmi les apôtres, Simon Pierre est souvent le premier à prendre la parole, parfois éclairé par l’Esprit, parfois en se mettant au travers du plan de Dieu (cf. Mt 16, 13-23) et même lorsqu’il ne sait que dire (cf. Mc 9, 6). Mais après son triple reniement, lorsqu’il croise le regard du Seigneur, Pierre ne dit rien, il pleure amèrement. Devant le tombeau vide et le soir de Pâques, lorsque le Christ se manifeste aux apôtres, il ne dit rien. Quelques jours plus tard, au bord du lac de Tibériade (cf. Jn 21), lorsque Jean lui dit : « C’est le Seigneur », il ne discute pas, il se jette à l’eau. Près du feu, il ne dit rien. C’est Jésus qui prend l’initiative en l’interrogeant. Alors, il peut enfin dire la seule parole que Jésus attendait : « Tu sais bien que je t’aime. » Il a fallu ce long silence où tant de souvenirs ont travaillé le cœur de Pierre pour qu’il puisse dire enfin cette vraie parole…

Le témoignage de Pierre

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Parmi les apôtres, Simon Pierre est souvent le premier à prendre la parole, parfois éclairé par l’Esprit, parfois en se mettant au travers du plan de Dieu (cf. Mt 16, 13-23) et même lorsqu’il ne sait que dire (cf. Mc 9, 6). Mais après son triple reniement, lorsqu’il croise le regard du Seigneur, Pierre ne dit rien, il pleure amèrement. Devant le tombeau vide et le soir de Pâques, lorsque le Christ se manifeste aux apôtres, il ne dit rien. Quelques jours plus tard, au bord du lac de Tibériade (cf. Jn 21), lorsque Jean lui dit : « C’est le Seigneur », il ne discute pas, il se jette à l’eau. Près du feu, il ne dit rien. C’est Jésus qui prend l’initiative en l’interrogeant. Alors, il peut enfin dire la seule parole que Jésus attendait : « Tu sais bien que je t’aime. » Il a fallu ce long silence où tant de souvenirs ont travaillé le cœur de Pierre pour qu’il puisse dire enfin cette vraie parole…

Le témoignage de Pierre

De la parole au silence et du silence à la parole

 

Parmi les apôtres, Simon Pierre est souvent le premier à prendre la parole, parfois éclairé par l’Esprit, parfois en se mettant au travers du plan de Dieu (cf. Mt 16, 13-23) et même lorsqu’il ne sait que dire (cf. Mc 9, 6). Mais après son triple reniement, lorsqu’il croise le regard du Seigneur, Pierre ne dit rien, il pleure amèrement. Devant le tombeau vide et le soir de Pâques, lorsque le Christ se manifeste aux apôtres, il ne dit rien. Quelques jours plus tard, au bord du lac de Tibériade (cf. Jn 21), lorsque Jean lui dit : « C’est le Seigneur », il ne discute pas, il se jette à l’eau. Près du feu, il ne dit rien. C’est Jésus qui prend l’initiative en l’interrogeant. Alors, il peut enfin dire la seule parole que Jésus attendait : « Tu sais bien que je t’aime. » Il a fallu ce long silence où tant de souvenirs ont travaillé le cœur de Pierre pour qu’il puisse dire enfin cette vraie parole…

Le témoignage de Pierre

De la parole au silence et du silence à la parole

 

Parmi les apôtres, Simon Pierre est souvent le premier à prendre la parole, parfois éclairé par l’Esprit, parfois en se mettant au travers du plan de Dieu (cf. Mt 16, 13-23) et même lorsqu’il ne sait que dire (cf. Mc 9, 6). Mais après son triple reniement, lorsqu’il croise le regard du Seigneur, Pierre ne dit rien, il pleure amèrement. Devant le tombeau vide et le soir de Pâques, lorsque le Christ se manifeste aux apôtres, il ne dit rien. Quelques jours plus tard, au bord du lac de Tibériade (cf. Jn 21), lorsque Jean lui dit : « C’est le Seigneur », il ne discute pas, il se jette à l’eau. Près du feu, il ne dit rien. C’est Jésus qui prend l’initiative en l’interrogeant. Alors, il peut enfin dire la seule parole que Jésus attendait : « Tu sais bien que je t’aime. » Il a fallu ce long silence où tant de souvenirs ont travaillé le cœur de Pierre pour qu’il puisse dire enfin cette vraie parole…

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

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Du pape émérite Benoît XVI

 

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Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

Du pape émérite Benoît XVI

 

« Le dynamisme du désir est toujours ouvert à la rédemption. Même lorsqu’il se fourvoie sur des chemins erronés. Même dans l’abîme du péché ne s’éteint pas en l’homme cette étincelle qui lui permet de reconnaître le vrai bien, de le goûter, et d’engager ainsi un parcours d’élévation, auquel Dieu, avec le don de sa grâce, ne fait jamais manquer son aide. Tous, du reste, nous avons besoin de parcourir un chemin de purification et de guérison du désir. Nous sommes des pèlerins vers la patrie céleste, vers le bien complet, éternel, que rien ne pourra nous arracher. Il ne s’agit donc pas d’étouffer le désir qui est dans le cœur de l’homme, mais de le libérer, afin qu’il puisse atteindre sa vraie hauteur. Lorsque, dans le désir, s’ouvre la fenêtre vers Dieu, cela est déjà le signe de la présence de la foi dans l’esprit, une foi qui est une grâce de Dieu. »

 

 


簡報的作者

這些文章取自天主教真福團內部傳閱的期刊“祂在這”。文章作者不定,有團體內的神父、教友、修士修女等,他們共同的渴望是激發祈禱生活,這是團體的召叫也是每一位基督徒的召叫。所以,我們很高興和大家分享這些簡單的文章

 

2009默主歌耶(Medjugorje) 訊息

  2009-1-25         親愛的孩子們,今天我再次要求你們祈禱。願你們的祈禱好似存放在我心中的種子,為了你們靈魂的救贖,我會把它交給我聖子耶穌。小孩子們,我渴望你們每一位都愛上永生,這是你們的未來。願世上每一件事物都幫助你們接近造物主天主。因為你們走在一條錯誤的...